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Makine, Andreï 
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Voilà un auteur que j'apprécie particulièrement, tant pour son écriture limpide et ciselée comme un bijou que pour l'histoire
belle et lumineuse qu'il raconte.
Je vous livre la quartrième de couverture :
« Véra est l'un de ces êtres que Dostoïevski appelait
"héros de l'extrême frontière". Engagés à corps perdu dans leur quête spirituelle ou amoureuse, ils se débattent à la limite de la folie mais aussi de la vérité souveraine. Celle charnelle et cosmique, qui exprime le dense mystère de leur vie, si humble d'apparence. »
La folie de Véra est d'attendre l'homme qu'elle aime, de refuser l'oubli, d'arracher à la solitude les âmes abandonnées par ceux qui préfèrent oublier. Mais surtout de garder l'espérance. Malgré tout. De la rencontre avec cette héroïne de « l'extrême frontière », nous sortirons transfigurés, illuminés par l'intensité de son amour, de sa foi.
Andrei Makine, né en Sibérie, a publié huit romans parmi lesquels je vous recommande Le testament français et La musique d'une vie.
Ce qui ne gâte rien, il maîtrise à merveille la langue
de Voltaire, dans laquelle il écrit directement.
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Alfred Van Roey
(68 critiques, cliquez pour les voir)
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Genre : Fiction
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10/1/2004
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